Aujourd'hui

30/04/2025   

PUB

PUB

Environnement

Les enjeux environnementaux, des énergies renouvelables à la protection de la biodiversité.

Une tendance alarmante: la barre des 40°C est encore franchi en France cette année

Ce samedi, dans la commune de Cérét, dans les Pyrénées-Orientales, il a fait plus de 40 °C. Il s’agit d’une première dans l’Hexagone depuis le début de l’année 2024.

Ce samedi, dans la commune de Cérét, dans les Pyrénées-Orientales, il a fait plus de 40 °C. Il s’agit d’une première dans l’Hexagone depuis le début de l’année 2024.
Après avoir mis du temps à se manifester, les chaleurs estivales atteignent ce samedi des niveaux très élevés. Pour la première fois depuis le début de l’année 2024, la barre des 40 °C a été franchie en France, a annoncé Météo France ce samedi. 40,8 °C ont été enregistrés à Cérét, une commune située dans les Pyrénées-Orientales.
Comme l’indique le site Météo Ciel, qui listent les données des stations météo en France, d’autres localités roches de la méditerranée en France ont également connu des très hautes températures ce samedi.
La capitale aussi a connu des chaleurs écrasantes ce 20 juillet. Selon La Chaine Météo, les 30 degrés ont été atteints à Paris à 13h55. « C’est le sixième jour de forte chaleur depuis le début de cet été dans la capitale », indique la chaîne spécialisée, qui signale également qu’une baisse température est attendue pour ce dimanche.

À découvrir aussi

À l’aube de 2025, plusieurs pays africains se distinguent par leurs prévisions de croissance économique optimistes. Selon les rapports de la Banque africaine de développement et d’autres institutions, des nations comme le Niger, le Sénégal et la Côte d’Ivoire devraient figurer parmi les économies à la croissance la plus rapide au monde.
Annoncée par le président Nana Akufo-Addo, la suppression des visas pour tous les ressortissants africains d’ici fin 2024 vise à renforcer les liens entre les pays du continent et à promouvoir le tourisme et les affaires.
La nouvelle constitution du Mali, adoptée en juillet 2023, relègue le français au statut de langue de travail et officialise treize langues nationales. Ce changement marque une rupture significative avec l’héritage colonial et reflète des tensions croissantes avec la France.
La Banque africaine de développement (BAD) se prépare à élire son nouveau président en mai 2025 à Abidjan. Parmi les candidats, Bajabulile Swazi Tshabalala et Amadou Hott se distinguent, chacun soutenu par des pays et des groupes d’influence. Cette élection représente un moment clé pour l’avenir économique du continent africain.
Tidjane Thiam, président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), a appelé à une révision urgente de la liste électorale lors d’un meeting à Aboisso, soulignant l’importance d’une mise à jour annuelle. Il a également exprimé des préoccupations concernant le faible taux d’inscription et les enjeux économiques à l’approche de l’élection présidentielle d’octobre 2025.
Le groupe français Orano a annoncé le 20 décembre 2024 qu’il engageait un arbitrage international contre l’État du Niger, suite à la suspension de son permis d’exploitation du gisement d’uranium d’Imouraren. Cette décision s’inscrit dans un contexte de tensions croissantes entre Niamey et les entreprises minières, exacerbées par les récentes politiques de souveraineté du régime militaire nigérien.
L’Union européenne a récemment mis à jour sa liste noire des compagnies aériennes, y ajoutant 55 transporteurs africains, portant le total à 129. Cette décision soulève des questions sur la sécurité aérienne et les impacts économiques pour les compagnies concernées.
Les descendants d’esclaves déportés lors de la traite transatlantique peuvent désormais demander la nationalité béninoise, une mesure historique annoncée par Cotonou. Ce geste, chargé de symbolisme, soulève des questions sur les bénéficiaires potentiels, les motivations du gouvernement et les défis de sa mise en œuvre.
Une bousculade survenue lors d’une foire pour enfants à Ibadan, au Nigeria, a fait au moins 35 morts et six blessés graves. Le gouvernement a arrêté huit personnes, dont le principal organisateur de l’événement, alors que des questions émergent sur la sécurité et la gestion des foules.
La capitale malienne remplace les noms de rues et places hérités de l’époque coloniale ou associés à des institutions en conflit avec le pays. Une démarche symbolique qui reflète les tensions géopolitiques et les choix souverainistes du régime militaire.