Aujourd'hui

15/03/2025   

PUB

PUB

Environnement

Les enjeux environnementaux, des énergies renouvelables à la protection de la biodiversité.

Enjeux de l'écotourisme au Gabon, Africa Green Magazine

Gabon : Le Gabon, un joyau vert dédié à la protection de l’environnement

Au fil des années, le Gabon s'est imposé en tant que pilier de la préservation de l'environnement grâce à sa biodiversité, qui représente près de 85% de son territoire. On peut observer des efforts, notamment en ce qui concerne le nombre d'aires protégées, qui, selon le ministère des Eaux et forêts et la Banque mondiale, représentent environ 22% du territoire national.

Au fil des années, le Gabon s’est imposé en tant que pilier de la préservation de l’environnement grâce à sa biodiversité, qui représente près de 85% de son territoire. On peut observer des efforts, notamment en ce qui concerne le nombre d’aires protégées, qui, selon le ministère des Eaux et forêts et la Banque mondiale, représentent environ 22% du territoire national.


Alors que le Gabon a commencé à participer aux enjeux liés à l’inversion de la courbe du réchauffement de la planète en créant près de 13 parcs nationaux dès le début du deuxième millénaire, ces efforts se sont intensifiés depuis lors afin de répondre aux nouveaux défis établis dans les Objectifs de développement durables (ODD). Dans son approche écologique, le GABON occupe une place de premier plan.


Le Gabon n’est pas en reste dans cette lutte mondiale pour la préservation de la vie sur terre. Effectivement, du maintien de la biodiversité marine à celle des forêts, le pays a réussi à se démarquer, tout en respectant ses objectifs de développement. Par conséquent, grâce à une politique d’exploitation forestière responsable, qui se manifeste notamment par une politique de certification des zones d’exploitation afin de garantir une traçabilité accrue des produits issus de ses forêts, le Gabon met en avant sa préservation de sa biodiversité faunique.


À ce sujet, une étude récente indépendante a été réalisée par un biologique de la faune au sein de plusieurs concessions forestières gabonaises qui ont été certifiées par le label Forest Stewardship Council International (FSC) et non pas par des concessions forestières non certifiées qui a permis d’établir un lien de causalité entre l’activité humaine non contrôlée et la perte de la biodiversité faunique, est assez révélatrice du sérieux des politiques environnementales menées par le Gabon. Il faut dire que le défis des autorités gabonaises, est désormais de parvenir à mobiliser les instruments de financement, afin que les 100 millions de tonnes carbone séquestrées en moyenne chaque année, se traduisent en compensation financière.

À découvrir aussi

À l’aube de 2025, plusieurs pays africains se distinguent par leurs prévisions de croissance économique optimistes. Selon les rapports de la Banque africaine de développement et d’autres institutions, des nations comme le Niger, le Sénégal et la Côte d’Ivoire devraient figurer parmi les économies à la croissance la plus rapide au monde.
Annoncée par le président Nana Akufo-Addo, la suppression des visas pour tous les ressortissants africains d’ici fin 2024 vise à renforcer les liens entre les pays du continent et à promouvoir le tourisme et les affaires.
La nouvelle constitution du Mali, adoptée en juillet 2023, relègue le français au statut de langue de travail et officialise treize langues nationales. Ce changement marque une rupture significative avec l’héritage colonial et reflète des tensions croissantes avec la France.
La banque nigériane Zenith Bank ouvre une succursale à Paris, marquant une étape importante dans l’expansion des institutions africaines en Europe. Une stratégie qui contraste avec le retrait progressif de plusieurs banques européennes du continent africain.
La Banque africaine de développement (BAD) se prépare à élire son nouveau président en mai 2025 à Abidjan. Parmi les candidats, Bajabulile Swazi Tshabalala et Amadou Hott se distinguent, chacun soutenu par des pays et des groupes d’influence. Cette élection représente un moment clé pour l’avenir économique du continent africain.
Tidjane Thiam, président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), a appelé à une révision urgente de la liste électorale lors d’un meeting à Aboisso, soulignant l’importance d’une mise à jour annuelle. Il a également exprimé des préoccupations concernant le faible taux d’inscription et les enjeux économiques à l’approche de l’élection présidentielle d’octobre 2025.
Le groupe français Orano a annoncé le 20 décembre 2024 qu’il engageait un arbitrage international contre l’État du Niger, suite à la suspension de son permis d’exploitation du gisement d’uranium d’Imouraren. Cette décision s’inscrit dans un contexte de tensions croissantes entre Niamey et les entreprises minières, exacerbées par les récentes politiques de souveraineté du régime militaire nigérien.
Face aux accusations de la République démocratique du Congo concernant l’utilisation de minerais « exploités illégalement », Apple a annoncé le 16 décembre 2024 la suspension de ses achats de tungstène, d’étain et de tantale en provenance de la RDC et du Rwanda. Cette décision soulève des questions sur la transparence des chaînes d’approvisionnement et les pratiques des entreprises technologiques.
L’Union européenne a récemment mis à jour sa liste noire des compagnies aériennes, y ajoutant 55 transporteurs africains, portant le total à 129. Cette décision soulève des questions sur la sécurité aérienne et les impacts économiques pour les compagnies concernées.